En effet chaque circonstance, chaque instant impose une et une seule action juste de retour à l'équilibre (non action).
A la limite, celui qui suit le Tao finit par (après avoir réglé tous ses problèmes) s’asseoir et méditer jusqu'à la fin de sa vie, risquant ainsi de rentrer dans une prison spirituelle.
En fait, vous le pensez bien, ce n'est pas une prison !
Le sage se fait esclave certes! Mais il est l'esclave d'un maître qui ne demande rien.
Le vide est le moteur de l'Esprit, ses intérêts n'existent pas, ou plutôt sont ceux de tous et de toutes choses.
Dès lors, le sage savoure ces instants de communion avec le vide. Et si une action de rééquilibre s'impose, il s'y soumet de bonne grâce.
Votre serviteur, Oliver
Cher âmi Oliver,
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Ici, la liberté nous enferme dans son concept.
Là, est libre celui qui n'a pas de concept.
Avec toute ma sympathie, Jack le poétiste
Oui, ce que tu dis est bien vrai Jack,
RépondreSupprimerMais ici, (comme là :)) je parle de la liberté d'action, et ce sans concept car le sage n'utilise plus son mental que pour obtenir du Tao l'action à laquelle il se soumet de bonne grâce.
Il n'est pas libre, mais sa non action est la plus libératrice qui soit, puisque s'offrant au Tao, c'est le Tao qui s'offre à lui. C'est une relation d'Amour, un mariage en quelque sortes.
Avec toute mon amitié, Oliver
Bonsoir Olivier,
RépondreSupprimerChacun est libre de respirer :)
peut-être la liberté est de ne plus être attaché à la liberté mais simplement se laisser habiter par la liberté
amicalement,
belle soirée à toi Olivier
Bonsoir Virginie,
RépondreSupprimerTu as une très belle façon de résumer le fond de cette non liberté : être plutôt qu'en user.
Belle soirée également avec mon entière sympathie.