Le Tao est vide, mais insondable,
Quel abîme !
Il semble être le géniteur des dix mille êtres,
Il tempère ses ardeurs,
Illumine l'obscur,
Modère la lumière,
Unit la poussière,
Oh ! qu'il est pur !
Il semble subsister de toute éternité. Je ne sais de qui il pourrait être le fils; il parait être antérieur à Dieu lui-même.
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