En agissant par intérêt, l'homme s'attache à des futilités qui l’entraînent dans les rouages de la vie. Il s'agrippe à un rayon de la roue qui l'embarque dans un mouvement étourdissant et surtout, lui font rater le meilleur de ce que pourrait être sa vie.
Celui qui est sans passion se situe au centre de la roue, immobile et sans action. Il peut jouir de chaque passion, de chaque rayon sans s'y attacher. Il peut donc rayonner et aider les autres dans chaque domaine.
L'image du moyeux de la roue est celle du cerveau reptilien qui est à la source des pensées intuitives et instinctives. Celle de la jante et des rayons de la roue est l'image du cortex et de ses pensées construites et passionnées.
C'est celle du sans ego qui peut tout dans l'ici et maintenant.
Oui, le Bien-heureux, être qui demeure sans désir, a su stopper la roue des karmas... Bien amicalement, cher Oliver
RépondreSupprimerBonjour Phène,
RépondreSupprimerLe sachant, il faudrait être fou pour continuer à poursuivre ses désirs...
Belle journée, Phène