Les grands Souverains de jadis étaient connus du peuple. Ceux qui vinrent ensuite, le peuple les aima, les honora ; puis il les craignit, et enfin il les méprisa. Tant qu'elle n'est pas totale, la foi n'est pas la foi.
Les premiers Souverains étaient graves, réservés dans leurs paroles. Les œuvres méritoires se multipliaient, les entreprises prospéraient. Dans les Cent Familles (le peuple), tous disaient : "C'est grâce à nous qu'il en est ainsi."
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