Attachez-vous à la Grande Idée, et le monde avancera. Il avancera sans peine, dans la paix, la sérénité, l'abondance.
La musique et la bonne cuisine attirent le voyageur de passage, et il s'arrête. Mais ce qui vient du Tao ne flatte pas le palais, car il est sans saveur. On le regarde, mais cela ne suffit pas pour le voir ; on l'écoute mais cela ne suffit pas pour l'entendre.
Pourtant, si l'on a recours à lui, on ne peut l'épuiser.
Et pourtant il nourrit de son silence assourdissant !... Belle semaine, cher Oliver, âmi du Tao
RépondreSupprimerCertes, le silence du Tao nourrit l'âme !
RépondreSupprimerBelle semaine à toi aussi cher Phène